Un très joli look pour les fêtes, particulièrement original, avec cette magnifique robe Kenzo très stylée grâce à son col montant zippé qui se ferme par un bouton-pression et ses rayures sublimées par cette superbe tonalité vert absinthe très flashy. Un vent de fraîcheur et de liberté pour cet hiver! Le look se complète à merveille avec ces bottes en cuir plissé souple dont l’effet drapé au-dessus de la cheville est remarquable; talon à la forme originale très confortable pour marcher; bout pointu (également collection Kenzo automne-hiver 2021/2022). Accessoires: casquette Galeries Lafayette, bagues en métal argenté Clara Jasmine.
Dans ce look très graphique, tout à la fois décontracté et élégant, je porte une robe pull à carreaux motif damier sur une mini-jupe en jean. Original, non? Cela permet de rallonger un petit peu la robe, et les coloris se combinent à merveille. Je porte par-dessus un magnifique blouson en cuir bleu foncé avec col montant. Toutes ces pièces font partie de la collection Kenzo automne-hiver 2021/2022: robe pull à carreaux à manches longues, mini-jupe en denim à effet délavé avec coutures apparentes et empiècements contrastés, blouson en cuir lisse « Midnight Natural Grained » avec découpes aux épaules et bords-côtes aux poignets et en bas. J’ai complété le look avec des bottes montantes en cuir à semelles épaisses et crantées de la marque espagnole Manas (très confortables), une casquette Galeries Lafayette et mes bagues préférées de Clara Jasmine en métal argenté.
L’artiste français Jean-Michel Othoniel, connu pour ses oeuvres de dimension architecturale en verre et en fonte de métal, a été invité par le Petit Palais à investir la totalité du musée parisien et de son jardin pour cette exposition intitulée « Le Théorème de Narcisse ». A cette occasion, en plus de 70 oeuvres nouvelles, l’artiste a inventé le « Théorème de Narcisse », un homme-fleur qui, en se reflétant lui-même, reflète le monde autour de lui. Il tisse ainsi une toile d’irréalité, d’enchantement, d’illusion, de libération de l’imagination. Les oeuvres de toute beauté sont enchâssées dans le bâtiment, suspendues aux arbres ou posées sur l’eau; elles dialoguent avec l’architecture du Petit Palais et les ors de son jardin. Le message d’ouverture qu’elles transmettent est une invitation au rêve qui permet, le temps de l’exposition, de résister à la désillusion du monde. L’entrée est gratuite.
Cette collection capsule (en édition limitée) est le produit très réussi d’une collaboration exclusive entre Kenzo et Khrisjoy, jeune marque italienne spécialisée dans les doudounes de luxe. Marzia Bellotti, fondatrice de Khrisjoy, remet ainsi au goût du jour l’imprimé « Polar Bear » Kenzo des années 90. Les modèles amples se déclinent dans des jeux de couleurs éclatants et reprennent les codes signature de la jeune marque: style cocon oversize, cordons de serrage siglés XXL, détails en métal nickel brossé. La collection comprend des doudounes et parkas pour femmes et hommes et aussi des modèles enfant. Il y a toutes sortes de longueurs, avec ou sans manches.
Je vous propose ci-après deux modèles particulièrement désirables: une doudoune croppée à manches longues, et une autre sans manches. Pour la première, je l’ai assortie successivement à un superbe pantalon en cuir lisse bleu à taille large et à une mini-jupe en jean bleue à effet délavé (le tout, collection Kenzo AW21). Pour la seconde, je l’ai combinée à une robe T-shirt noire asymétrique « Kenzo Logo » en coton organique (également collection Kenzo AW21). Tous les looks ont été finalisés avec des bottes en cuir de la marque espagnole Manas, une casquette Galeries Lafayette et mes bagues préférées de Clara Jasmine (jeune créatrice de bijoux parisienne qui vient d’ouvrir sa propre boutique dans le Marais à Paris au 79 rue Charlot).
Un grand merci à toute l’équipe Kenzo des Galeries Lafayette pour le stylisme et les photos!
DEFILE LACOSTE SUR LE PARVIS DU PALAIS DE TOKYO: La britannique Louise Trotter, directrice artistique depuis 2018 de la marque française fondée par René Lacoste en 1933, a rendu un hommage manifeste à ses origines en dévoilant sa nouvelle collection (mixte) sur un court de tennis reconstitué. Les looks urbains, chic et confortables présentés ont toutefois aussi incorporé les codes de nombreux autres sports (basket, baseball, boxe, golf). Brassière en néoprène vert foncé sur un bermuda léger rose saumon accessoirisé d’une paire de chaussettes hautes bordeaux et de claquettes pour commencer. Puis s’enchaînent mini-jupes plissées, polos bi-matières, ensembles qui jouent sur les transparences, ponchos aux allures de hoodies, pantalons amples à taille haute et à coupe raccourcie, shorts et débardeurs assortis, lunettes de soleil futuristes et visières. Le tout dans une large palette de couleurs contrastées. Les matières techniques comme le caoutchouc des jupes plissées, le néoprène des tops et bombers, la résille des vestes ou la maille des polos et shorts longs, fusionnant parfois sur une même pièce, donnent une allure très actuelle à cette collection élégante, fonctionnelle et pratique, sans renier l’ADN de la maison.
DEFILE SHANG XIA A L’ESPACE COMMINES: Cette marque peu connue en Europe propose un luxe chinois de qualité depuis une dizaine d’années. Elle a été rachetée en 2020 à son ancien propriétaire Hermès par le groupe Exor de la famille Agnelli, qui a confié au créateur Yang Li la direction artistique de son activité mode afin de lui donner un nouveau départ. Pour ce premier défilé à Paris dans le calendrier officiel, le créateur a proposé une collection urbaine et contemporaine aux matières nobles, aux coupes épurées et aux couleurs éclatantes qui vise avant tout les millenials chinois. Il mêle T-shirts zippés cobalt ou jaune fluo en cachemire double face, manteau bubble-gum à poches plaquées, tailleur abricot et manteau croisé argent, pantalons en satin, capes enveloppantes et grandes parkas. Les mannequins sont chaussés de bottes et sandales futuristes à rebord translucide. C’est efficace et séduisant à défaut d’être très original. Il est également à noter que le créateur basé à Paris a décidé que la majorité de la confection serait réalisée en Italie.